J’ai un sexe qui est conforme à mon sexe assigné à la naissance donc mon genre est le même que mon genre assigné à la naissance parce que le genre est soit un synonyme de sexe, soit un mot qui ne veut rien dire. Mais semble-t-il qu’il y a six genres. Ça adonne bien, je suis blogueur, photographe, amateur de musique métal, amateur de musique électronique, anti-religion et amateur de jeux vidéo. Donc je suis six-genres… Bon ok, plus sérieusement, tout le monde est “cisgenre”. Si vous ne l’êtes pas, c’est du à votre déni total de compréhension de votre propre corps humain. Parce que votre genre, c’est humain. Et en tant qu’humain, vous êtes un homme, c’est à dire être humain de sexe mâle, ou femme, c’est-à-dire être humain de sexe femelle. Ce qui est complètement insensé, c’est qu’on pourrait être accusé de “transphobie” simplement pour dire ça. Mais la réponse à cette attaque est simple: Nous avons besoin d’un lobby contre la sapiophobie pour contrer les lobbys contre la transphobie. Moi? Je ne suis pas transphobe, je suis genre-o-phobe.

En rappel: “Gender” ou “genre” vient du latin “Genus” qui veut dire “sexe” et qui a ensuite donné des mots comme “génital” et “engendrer”. Évidemment, tous en lien avec le sexe. Cessez de jouer avec les mots.

Mais que fais tu du ressenti des “vrais hommes qui allaitent” ?

Mars 2021, la page Facebook “I Fucking Love Science” parle de “Penis Havers” (gens qui ont un pénis). Inversement, en Décembre 2020, en France, “Planning Familial” parlait aux ados de leurs premières règles en appelant les filles “les personnes qui ont un utérus”. Wow. Ce serait tellement plus facile si on aurait des mots pour ça, dommage que la langue française et anglaise n’ont aucun mot pour désigner les hommes et les femmes, ou les sexes mâles et les sexes femelles.

Il y a des hommes trans, et il y a des femmes trans, mais ça ne leur suffit pas. Même s’ils sont de sexe féminin, selon eux, ils sont des hommes, ou vice-versa. Pas des “hommes trans” ou des “femmes trans”. Tiens donc. Semble-t-il que ce sont eux/elles, les vrais transphobes, parce qu’ils détestent tellement les trans qu’ils veulent enlever l’étiquette “trans” de tout. Et oui, les hommes trans, c’est-à-dire les femmes qui s’identifient maintenant comme être humain de sexe masculin (malgré qu’ils ont un vagin entre les deux jambes et des seins), veulent s’identifier en tant qu’hommes. Simplement “hommes”. De vrais hommes qui allaitent, qui peuvent “tomber enceints”, et avoir un cunnilingus. J’ai même vu des gens pas très intelligents sur Twitter “affirmer” qu’une femme qui a un pénis est un pénis féminin et que vous êtes hétéros si vous sucez un pénis féminin. Hey, ça c’est mâle.

On a eu un aperçu de ce que cette mentalité-là donnait avec une “télé-réalité” appelée “There’s Something about Miriam”. Six hommes (vous voyez, c’est plus facile à dire que “personnes qui ont un pénis”, hein?), avaient comme but de gagner le coeur d’une certaine Miriam. Au dernier épisode, Miriam leur a appris qu’elle avait un pénis. Les 6 hommes (ça n’inclue pas Miriam) ont poursuivi les producteurs pour harcèlement sexuel, défamation, bris de contrat et blessures personnelles sous forme de dommages psychologiques et émotionnels. Ils ont gagné hors-cours. Tel qu’ils le devraient.

Miriam? Elle fut possiblement la seule à être sortie de cette “télé-réalité” avec un gros paquet d’argent – lorsqu’elle aurait plutôt du être poursuivie en justice et en perdre. Mais elle a été retrouvée morte en 2019. Sa mort a été classée comme un suicide. Son corps a été incinéré avant même qu’une autopsie n’ait eu lieu. Son mari a reçu un appel lui disant de ne pas préparer de funérailles, et de ne plus jamais retourner au mexique, sinon il se ferait tuer.

Je ne suis pas un idiot. Je ne dirai jamais que Miriam le méritait. Mais abuser de la confiance de 6 hommes dans l’unique but de faire en sorte que le monde entier se moque de leur gueule dans une “télé-réalité” (dans laquelle Miriam était “la star”), manquer de respect à ses 6 hommes au nom du respect du transgenrisme ou je ne sais trop quelle mentalité inclusive tordue, et penser s’en tirer sans aucune conséquence, était de la folie. La “télé-réalité” sera toujours un jeu stupide, les prix que les gens y gagnent seront toujours stupides.

Enfin, ce serait bon de se changer les idées après cette histoire d’horreur, alors voici un peu d’humour, et surtout un peu de logique.