J’ai vu une personne en accuser une autre de manquer de “décence humaine basique” parce qu’elle faisait des blagues à propos de “mégenrer” quelqu’un.


La décence humaine de base ne devrait-elle pas vouloir dire, en fait, comprendre les parties du corps humain de base, plutôt? Incluant le cerveau, qui est construit exactement pareil pour l’homme comme pour la femme: Absolument aucune différence.


En dépit de vos préjugés et stéréotypes à propos de ce qu’un homme ou une femme “devrait” être (ce qui veut dire que le “genre” est donc par conséquent uniquement un château de cartes des prétentions totalement inutiles – et que “mégenrer” veut dire, en fait, “mé-stéréotyper” quelqu’un), votre pénis ne sera jamais identifié comme un vagin et vice-versa, désolé mais je ne suis pas désolé.


Signé, un métalleux mâle qui adore les chats (et les chattes de femmes), et certaines choses mignonnes et certains bands de death metal aussi.


Je crois juste que si les gens commenceraient par s’apprécier eux-mêmes pour ce qu’il sont au lieu de devenir totalement différents physiquement dans l’unique but d’être dans un moule, une hostie de tonne de problèmes disparaîtraient et 99% de ces batailles d’écervelés à propos des “genres” ne se produiraient pas.


Les objets-trans: Pénétrer dans le moule superficiel.


Et wow. Après avoir passé des années à se battre contre l’objectification de la femme, la culture du matérialisme et la vénération de la beauté de l’apparence extérieure au point d’en ignorer ce que j’appelle les âmes (c’est-à-dire l’esprit, les sentiments, et les émotions), qu’il y a sous les apparences; cette ignorance qui faisait de ce monde une oeuvre d’art autant somptueuse que sans but, les transgenres entrent par la porte d’à côté et se battent à mort (souvent, fort malheureusement, jusqu’à leur mort) dans le but unique d’avoir le droit de devenir des stéréotypes de leur vision personnelle, tant subjective qu’idéaliste, de l’objectification du sexe opposé (…et ce, la quasi-totalité du temps, sans jamais “devenir” du sexe opposé, les changements de sexe étant incroyablement rares et toujours, évidemment, artificiels). Et lorsqu’on leur dit qu’ils n’ont pas besoin de changer leur physique pour être ce qu’ils veulent être, on se fait accuser de manquer de beauté intérieure par des gens qui veulent juste pénétrer dans le moule superficiel du sexe opposé pour être eux-mêmes “intérieurement”.


N’est-ce pas le paroxysme de l’objectification de la femme par l’homme (et vice-versa) ? N’est-ce pas carrément une tentative de “nullification” de toute âme humaine peu importe le sexe, que de penser que pour être soi-même comme le sexe opposé, il faut se botoxer et se modifier chimiquement à outrance? Je le répète: Le cerveau est construit exactement pareil pour l’homme comme pour la femme. Absolument aucune différence. Des hommes, c’est-à-dire des êtres humains de sexe mâle, et des femmes, c’est-à-dire des êtres humains de sexe femelle, pensent exactement comme vous, vivent exactement comme vous, et ont exactement les mêmes préférences sexuelles que vous. Ce n’est pas être “genderfluid”. C’est être humain. Peu importe qu’on ait un pénis ou un vagin.


Bien sûr, on peut “simplement” respecter tout le monde. On peut aussi réaliser que certains hommes sont en train de s’approprier l’idée d’être “enceint” ainsi que d’être une “mère porteuse”, que certains hommes dans les sports sont en train de manquer de respect aux vraies femmes en leur volant leurs trophées, que certains hommes sont en train de s’approprier l’histoire complète des femmes, pour ne nommer que ça. Et revoilà le paradoxe de la tolérance: Si vous tolérez tout, vous êtes intolérant parce que vous tolérez aussi les intolérants. Mon paradoxe de la tolérance, c’est celui de préférer respecter le bon sens aux gens qui n’en ont pas.


On veut du vrai sexe.


Le plus drôle dans tout ça, c’est que les transgenres qui, par définition, définissent tout en fonction du sexe qu’ils prétendent (à tort) avoir, ignorent totalement l’évidence que les femmes hétérosexuelles et les hommes gais veulent de vrais pénis, et les hommes hétérosexuels et les femmes lesbiennes veulent de vrais vagins.


Bien sûr, votre transformation est peut-être réussie. Bien sûr, vous avez peut-être l’air d’un homme ou d’une femme. Mais la réalité, c’est que plus de 99% des gens sur la planète, c’est-à-dire tous les non-trans, hétérosexuel-les, gais et lesbiennes, n’en ont rien à foutre: Ils cherchent des vrais vagins et des vrais pénis pour faire du vrai sexe. Et les hommes hétéros, particulièrement, sont dégoûtés à l’idée de voir un autre pénis. Alors ne le surprenez pas dans la chambre à coucher avec le vôtre, c’est vous qui allez avoir la surprise de vous faire jeter dehors. Ensuite, certains irréductibles oseront même aller pleurer à leurs ami-e-s qu’ils ont été victimes de “transphobie”. Non: C’est vous qui êtes “masculinophobe” et qui n’avez même pas eu la décence, durant au minimum les 20 premières années de votre vie, de réaliser l’évidence que les hommes hétérosexuels sont quasi tous “pénisophobes”. Et bref, tout le monde, peu importe son sexe, est dégoûté par la trahison.


Mais vous allez me dire “Hah, cet idiot-là ne sait même pas qu’on peut se faire changer de sexe depuis 1930!”. Oui, je le sais. Je sais aussi, “fille”, que vous avez un pénis. Je sais aussi, “mon gars”, que vous avez un vagin. Bien sûr, aux dernières nouvelles, aux États-Unis, il y avait des milliers de transgenres. Savez-vous combien de personnes ont faits changer leur organe sexuel en 2020 aux États-Unis? 12. Douze.


Ne cherchez pas ces statistiques. Elles sont trop difficiles à trouver. Pourquoi? Parce qu’elles ont été effacées d’un article du Washington Post: Elles sont transphobes. Dire que la majorité des femmes trans avec “une transition exceptionnelle” n’ont même pas de vagin, que la majorité des hommes trans avec “une transition exceptionnelle” n’ont même pas de pénis, détruirait totalement le château de cartes qu’est la mentalité pro-trans.


Que le château de cartes tombe, alors: La réalité est transphobe. C’est juste la fiction qui est pro-trans. Votre fiction parfaite dans laquelle un homme hétérosexuel, un vrai, quand ça aime une personne, ça suce son pénis et ça critique pas.


Enfin… Le déshonorable journalisme: L’allié des transgenres.


Comment les transgenres, qui sont une minorité d’une minorité, ont fait pour avoir autant de publicité? C’est probablement parce que des histoires de transgenrisme, “ça fait réagir”. Ça choque beaucoup, ça dérange beaucoup, et les médias aujourd’hui sont juste des putes-à-clics payées aux clics de souris par article.


Oui, je crois sincèrement que le transgenrisme ne mérite pas sa popularité. Que les questions (presque toujours tellement stupides qu’elles ne méritent pas de réponse) posées par les médias sont volontairement multipliées dans le but de forcer les gens à lire des textes sans queue ni tête (…je ne voulais faire aucun jeu de mot), et d’amener tout le monde à s’échouer dans des élucubrations dans les commentaires.


Dans “Le Déshonorable Journalisme”, je disais que le journalisme avait perdu ses lettres de noblesse. Une variable que j’avais oubliée d’ajouter à cette équation était celle du choc, du dérangement du lecteur. Faire chier la population entière dans le but ultime de simplement gagner plus de cennes par clics de souris.


Ça peut être surprenant, mais le monde entier ne connaît pas toutes les histoires, toutes les anecdotes et tous les recoins du transgenrisme qui affecte une infime minorité de gens “parce qu’ils ont besoin de le savoir”. Il y a peu de temps, le seul moyen de se renseigner là-dessus, c’était dans le “Allô Police”.



Je crois que la popularité du transgenrisme n’est qu’un effet secondaire de la dégénérescence du journalisme. Et je crois que j’en ai assez dit sur le sujet du transgenrisme. Je n’ai aucun gain financier à avoir à dire et re-dire les mêmes choses comme certains “journaux”. Je termines donc en disant que la seule chose que le monde entier a besoin de savoir à propos du transgenrisme, c’est que ce n’est pas parce qu’une pute à clics de souris s’identifie en tant que journal d’information, que c’en est un.