Au mois de mars, au Québec, “personne avec un vagin” fut écrit par une magistrate avec un historique pro-trans dans un texte de loi de la cour suprême défendant, croyez-le ou non, une femme violée. J’étais plus que d’accord avec tous les politicien-ne-s qui ont signé une motion condamnant cette “invisibilisation de la femme”.


Et lors d’une discussion à ce sujet, je me suis simplement dit, “de quoi je me mêles”, en tant qu’homme? Et j’ai réalisé… que je “nous” avait oubliés.


De quoi j’me mêles?


Un homme qui essaies d’avoir l’air de, ou simplement qui s’identifies en tant que, femme… Peut de plus en plus simplement aller dans la toilette des femmes “parce qu’il s’identifies en tant que tel”. Sans conséquence. Merde, il peut même choisir la prison pour femmes. Je ne veux pas être associé à ça.


Le transgenrisme ne salit pas que le féminisme, il salit les hommes honnêtes aussi. Si j’aurais le choix, je refuserais la possibilité de faire partie des “hommes qui ont le droit d’aller dans les toilettes des femmes parce qu’ils se sentent comme ça aujourd’hui”. Si j’aurais le choix, je refuserais la possibilité d’éventuellement faire de la prison dans une prison pour femmes (oui, les prisonniers trans aux États-Unis, et dans certains autres pays, vont maintenant à la prison pour femmes…). Je ne veux pas être associé à ce cirque.


On avait pas besoin de cette publicité-là. Les femmes, au Canada, ont le droit de voter depuis seulement 1916. Ont supposément atteintes l’équité salariale en 1956… mais même aujourd’hui on trouve des “erreurs” parfois – incluant dans les salaires de tout le gouvernement fédéral, erreur qui ne fut corrigée qu’au début des années 2000. Et en 2024, au nom du “progressisme”, elles n’ont plus le droit d’être en sécurité dans les toilettes?


Je ne veux pas être associé à ce cirque.